Maitaké BIO

Description

Notre Maitaké BIO est vendu sous 4 formes disponibles :

• simplement séché et réduit en poudre en boite de 100 grammes
• simplement séché et réduit en poudre, puis mis en gélules, en pilulier de 120 gélules de 500 mg
• en extrait garanti à 30% minimum de polysaccharides en pilulier de 60 gélules de 350 mg d’extrait
  
• en extrait garanti à 30% minimum de polysaccharides en pilulier de 240 gélules de 350 mg d’extrait
  

Ingrédients

La poudre ne contient que la poudre de Maitaké BIO, et rien d’autre.

Les gélules d’extrait contiennent en plus de l’extrait de Maitaké, 20 mg d’acerola bio qui permettent une meilleure absorption des molécules bienfaisantes du champignon.

Les gélules sont d’origine végétale conformément à la réglementation bio (hydroxypropylmethylcellulose).

Qu’est-ce que le Maitaké ?

Le Maitaké, dont le nom japonais signifie « champignon dansant », est aussi connu sous le nom de « polypore en touffes » ou encore de « poule des bois ». Derrière ces drôles de surnoms se cache un champignon connu depuis des milliers d’années et dont la consommation est très répandue en Asie. Partez à la découverte du Maitaké, le « roi des champignons »…

Un peu de botanique

Le Maitaké, ayant pour nom scientifique Grifola frondosa, est un gros champignon de la famille des Meripilaceae. Comme le Shiitaké (Lentinula edodes), on le rencontre essentiellement en Asie, dans les forêts de chênes et de châtaigniers. À l’état sauvage, il se développe le plus souvent au pied des arbres ou parfois sur des souches dont il absorbe les nutriments dont il a besoin.

D’un point de vue botanique, c’est un champignon brun-gris à la chair blanche. Dans la forêt, le Maitaké est facilement identifiable : de l’été jusqu’au début de l’automne, il pousse en grappes et sa forme ressemble à un corail. Il est en fait constitué d’une multitude de lamelles imbriquées les unes aux autres. Au stade adulte, ce champignon peut peser plus de 10 kg et mesurer jusqu’à 50 cm de diamètre !

Son histoire

Le Maitaké est un champignon asiatique connu depuis des milliers d’années et qui fait l’objet de nombreuses légendes. Rare à l’état sauvage, il pouvait être vendu à prix d’or et sa consommation était réservée aux plus aisés. À l’origine, il était surtout consommé au Japon très apprécié en cuisine pour sa texture ferme et sa saveur prononcée de noisette. On l’utilise pour la préparation de plats traditionnels, soupes et bouillons. Au fil des siècles, la consommation de Maitaké s’est progressivement développée dans toute l’Asie puis en Amérique du Nord et en Europe.

Aujourd’hui, le Japon est le principal producteur de Maitaké et doit répondre à une demande sans cesse grandissante. Comme le Hericium erinaceus, c’est un champignon très recherché et prisé dans le monde entier.

Zoom sur sa culture

Pour pouvoir pousser et se développer pleinement, le Maitaké a besoin de conditions bien spécifiques. Le taux d’humidité ambiant doit être très élevé (95%), les températures chaudes et stables. Ces paramètres de culture rendent le Maitaké plutôt rare à l’état sauvage.

C’est pourquoi, afin de répondre à la demande mondiale, des producteurs se sont lancés dans la culture de Maitaké. À partir des années 80, il est alors cultivé sur des souches, de la sciure de bois ou encore sur des substrats de blé, de seigle ou d’autres céréales. Cela permet de reproduire au maximum le biotope du champignon à l’état sauvage.